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ADAMI Valerio
Né en 1935 à Bologne, Valerio Adami est un acteur incontournable de la Figuration Narrative. Sa peinture se caractérise par des aplats colorés cernés de noir et évoque les voyages, la musique, la littérature ou le théâtre. L’énigme, scandée de nombreuses références littéraires, occupe toujours une place centrale dans son travail qu’il définit comme une interrogation philosophique avec le verbe.
Agathon
Artiste autodidacte, Agathon a animé ses premières surfaces sous la double influence de la Figuration Libre et du Street Art. C’est de ces deux attractions qu’est né chez elle le désir de tout colorer, dans le grand format. Colorer des toiles, des panneaux, des murs, des kakémonos, et aussi ses grandes sculptures en matériaux composites. C’est cette diversité des supports, et sa technique du cerné qui lui ont fait choisir le pinceau à la bombe, y compris pour les murs. À partir de là se sont multipliées les expos en galerie, les performances murales, mais aussi les décors de théâtre et de cinéma, et jusqu’à la couverture de « Journal d’Hirondelle » d’Amélie Nothomb, conçue comme un mur dans son petit format de poche.
AÏZPIRI Paul
Paul AÏZPIRI, d’ascendance basque est né à Paris en 1919. A 18 ans, il entre comme élève à l’école Boulle où il développe son sens tactile. Mais, dès 1936, il se tourne vers la peinture et intègre l’école des Beaux-Arts. Il expose pour la première fois à Paris en 1943 et obtient en 1946 le 3ème prix de la Jeune Peinture. Il entreprend ensuite différents voyages à Marseille et Venise, d’où il tire ses principales sources d’inspiration : vues sur la mer, les canaux, scènes de marché, personnages de la Comedia dell’Arte. En 1951, il participe à la biennale de Venise et décroche le prix national. Les années 1950 marquent le début de la réussite dans sa carrière de peintre.
CLAVE Antoni
Antoni Clavé, éternel inclassable de l’art contemporain, a fait l’objet de nombreuses rétrospectives dans le monde entier. La plus importante s’est déroulée au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris en 1978. Il a su faire évoluer sa peinture en renonçant parfois à un succès trop pressant et sans jamais s’assimiler à un courant artistique existant. Né en 1913 à Barcelone, il découvre pendant sa jeunesse les plaisirs de l’artisanat. Il débute un cursus dans une école d’art de Barcelone, commence à peindre des portraits à l’huile et s’entraîne en imitant les oeuvres de Velasquez. A 20 ans, il se déclare peintre et compose des affiches qui lui permettent d’acquérir une certaine reconnaissance dans le cinéma et le théâtre. Il est mobilisé au Front Républicain lors de la guerre civile espagnole et est astreint à rejoindre la France. Il arrive à Paris en 1939 et excelle dans la décoration théâtrale mais, de peur de s’emprisonner dans la discipline, il abandonne. Comme Picasso, qu’il admire fortement, il est très inspiré par la Corrida mais aussi par les primitifs catalans. Malgré son style inqualifiable, le public reconnaît son génie et le place en haut de la scène créative, particulièrement à partir des années…
ARMAN
Arman ou Armand Fernandez est né le 17 novembre 1928 à Nice et mort à New York le 22 octobre 2005. Artiste franco-américain, peintre, sculpteur et plasticien, il est connu pour ses « accumulations ». En effet, il fut l’un des premiers à employer directement, comme matière picturale, les objets manufacturés, qui représentaient pour lui les prolongements multiples et infinis de la main de l’homme. Sensible au cycle continu de la production, de la consommation, puis de la destruction, il devient l’un des membres fondateurs du groupe des Nouveaux Réalistes aux côtés de Jean Tinguely, Daniel Spoerri & co, rejoints plus tard par César ou encore Niki de Saint Phalle.
BAUDOUIN Arthur
Arthur BAUDOUIN Né en 1976 à Paris, vit et travaille à Verneuil-le-Château Issu d’une famille où l’art, côté maternel, côtoie inlassablement la littérature, côté paternel, sa vocation artistique est plutôt le fruit d’une infusion que d’une révélation. Dès le lycée, il se spécialise et obtient un baccalauréat option Arts Appliqués. Il poursuit sa formation à l’École Supérieure d’Art d’Avignon (ESAA). Titulaire du Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique (DNSEP), il fait son entrée dans la vie professionnelle en tant qu’intermittent du spectacle avant de créer une librairie galerie et d’enseigner par la suite les arts plastiques. Il se consacre aujourd’hui exclusivement à la création et à la diffusion de son art.
CAVI
CAVI est né en Novembre 1974 en Provence. Aujourd’hui il vit et travaille en Corse. Le parcours de CAVI peut être qualifié d’itinéraire hors-norme : de la rigueur professionnelle à la folie passionnée pour une peinture explosive et incisive. Son travail prend des formes très diverses. Artiste accompli, la musique a également une place importante dans son oeuvre, et l’accompagne dans chaque création. Son fil conducteur est la couleur, son objectif est la matière. Il revient parfois sur ses propres travaux en les maculant de couleurs, ou en les redessinant dans une démarche perfectionniste qui le caractérise. C’est dans cet esprit que l’artiste travaille en atelier. Il élabore un style à fortes tonalités visuelles, basé sur les formes et la couleur. Il présente une peinture inventive et éclatante. En perpétuelle évolution de son style. Teinté de timidité et de pudeur, CAVI est un artiste passionné et autodidacte. La discrétion à laquelle il s’astreint dans sa vie d’artiste est aussi caractéristique de sa production : en effet, peu de toiles sortent de son atelier.
CHIR Sophie
Inspirée par l‘univers des mangas et le street art, ainsi que par son expérience au sein de la Maison Lemarié – célèbre dans l’univers de la haute couture notamment pour la réalisation de l’iconique Camélia de Chanel, Sophie Chir réalise des toiles à la fois abstraites et florales, qui ne sont pas sans évoquer la calligraphie. Le geste pictural de l’artiste consiste à frapper, projeter au couteau la peinture, afin d’organiser des « Collisions » colorées. Telle une balle lancée, la peinture voltige, rebondit, se juxtapose, ou se superpose, créant une infinité de détails, mais aussi de reliefs et de contrastes aménageant plans et profondeurs qui explorent la 3ème dimension. L’expérimentation va plus loin, car les oeuvres de l’artiste nous font partager une expérience sensorielle autant rythmique que sensuelle, qui tient de la capacité de Sophie d’associer, de manière involontaire et automatique, un son à une couleur ; car l’artiste est synesthète, comme Wassily Kandinsky. Ce phénomène neurologique rare connecte en effet deux sens. Ici la musique – nécessaire au processus de création de l’artiste – est transformée en couleur. Grâce à cette particularité, Sophie Chir nous livre des chorégraphies visuelles riches en couleurs et en émotions.
COMBAS Robert
ROBERT COMBAS a apporté à l’aube des années 80 une nouvelle peinture figurative.Présent sur la scène artistique dès 1979 il est le créateur d’un mouvement que Ben appela « LA FIGURATION LIBRE », mouvement regroupant : Rémi Blanchard, François Boisrond, Robert Combas et Hervé Di Rosa. Peinture faite de libertés elle parle de la société, de la violence, de la sexualité, de la souffrance des gens, de leurs petits bonheurs, de leur petitesse, de leur grandeur … Elle s’inspire du rock dont l’artiste est un fin amateur, des images populaires, des livres d’enfance, des manuels scolaires de tout ce qui fait une culture populaire accessible à tous. » Moi, je travaille des fois abstrait par jets de peinture, une sorte d’expressionnisme abstrait. Le figuratif c’est le côté amusant, pied sur terre; au départ c’était une réaction dérisoire contre les peintures intellectuelles du milieu de l’art des années 70. Moi je viens du milieu populaire, je vivais dans deux mondes différents. Il y a quand même des messages dans ma peinture : au départ c’est une certaine énergie, j’ai voulu peindre ce que je voulais. Dans la B.D on est coincé par les personnages, tandis que, dans cette peinture, je suis libre complètement…
Crash
John CRASH Matos est né dans le Bronx en 1961. Dès 1975, il peint son nom dans le métro avec Daze et Kel First. Sa carrière en galerie a commencé en 1981 à la galerie Real Art Ways et à la Fashion Moda en 1982. Ses oeuvres sont représentées dans les collections les plus prestigieuses : le M.o.m.a. à New York, le Brooklyn Museum of Art, le Groninger Museum, le Stedelijk Museum à Amsterdam.
Erró
Erró est un artiste peintre islandais né en 1932. Il étudie les arts plastiques et principalement la peinture aux Beaux-Arts de Reykjavík et d’Oslo de 1949 à 1952, puis la mosaïque aux Beaux-Arts de Florence en 1955. Dans ces différentes écoles, il se spécialise tout d’abord dans la technique du papier découpé avant de se consacrer à la mosaïque. Il s’installe à Paris en 1958 et rencontre les artistes du mouvement surréaliste. Dans un univers de bande-dessinée, Erró fait se rencontrer des figures de cartoons et despotes historiques. Il glane en permanence des visuels dans les journaux, la publicité, ou l’illustration pour réaliser ses collages, des échantillons culturels provenant de tous les pays qu’il parcourt. De cette manière, comics et propagande chinoise peuvent et vont se retrouver sur un même plan. Il crée des chocs visuels, mélangeant aussi bien la temporalité que les frontières. Ses dessins sont résolument engagés et abordent de plein pied des thèmes politiques et historiques. Il use d’humour et de dérision pour animer les sujets auxquels il s’attaque : régimes totalitaires, société de consommation et guerre en Irak vont être ses principaux fers de lance. Ayant l’habitude de travailler par cycles, ses collages vont passer d’un…
Esboner
Ne en 1977 en Moselle, le messin dessine depuis l’enfance. C’est dans le milieu des années 90, qu’il découvre le milieu graffiti. Tout d’abord en vandal, sur autoroutes, voies ferrées, trains ou encore terrain abandonnés. Au fur et à mesure des années, il délaisse le writing (culture de la lettre) pour revenir à la base de son art qui est l’illustratif. Il délaisse également la rue, pour travailler personnellement sur ses dessins. Mais le street art va le rattraper assez rapidement. « Le street art le correspond parfaitement car on est dans l’idée de faire passer une émotion, un propos et ce peut importe les techniques utilisées » Il va alors commencer à faire des collages sauvages dans les rues de Metz, ses illustrations parlent des sentiments humains, de nos contradictions parfois, de façon non violente ou agressive. De façon poétique le but étant d’interpeller et de laisser aux passants la liberté d’interpréter Ce qu’ils voient. La rue et le street art sont des composantes indispensables a son art. Le messin expose aujourd’hui en galerie, participe à divers projets culturels, réalise des commandes pour particuliers ou des collectivités. Esboner essaie de faire ressortir ses influences japonaises et américaines dans le…
FAIREY Shepard
Shepard Fairey dit Obey est né en 1970 à Charleston aux Etats-Unis. Il plonge dans l’univers du graphisme dès l’âge de 14 ans en dessinant des images qui seront floquées sur des t-shirt et des skateboards. Influencé par l’œuvre de Andy Warhol ou encore l’artiste russe Alexandre Rodtchenko, il se dirige naturellement vers des études artistiques. Ainsi, à la fin des années 1980, Obey et une bande d’amis de la Rhode Island School of Design créent à partir de la figure du catcheur André the Giant une série de stickers et d’affiches qu’ils collent clandestinement par milliers sur les murs des villes américaines. C’est une des premières et des plus importantes campagnes « virales » de Street Art qui montre la capacité de force de frappe de cette nouvelle forme d’expression clandestine. Son travail est reconnu mondialement lors de la campagne présidentielle américaine de 2008 avec la création du poster HOPE de Barack Obama qui deviendra une image-icône de la campagne. Le Président le remerciera personnellement de l’influence que son affiche a pu avoir lors des élections présidentielles. L’Institut d’art contemporain de Boston le considère comme un des meilleurs et des plus influents artistes du Street art du moment. Malgré tout, si il est l’un des…
Jo Di Bona
Nouvelle figure emblématique de la scène Street Art parisienne, Jo Di Bona doit son succès fulgurant à sa technique unique qu’il a lui-même inventée: le Pop Graffiti, où il associe collages, diverses influences du graffiti et la culture pop dont il s’est profondément imprégné. Fauviste des temps modernes, Jo mélange couleurs et mouvements pour créer des visages empreints de poésie, d’émotions et de joie de vivre. Dans ses oeuvres, Jo rend hommage avec la même tendresse aux icônes et grands personnages de l’histoire qu’aux inconnus de passage, nourri par le regard généreux qu’il porte sur l’humain car “le plus important à ses yeux, c’est le partage” (Artist’up) Couronné du prestigieux 1er Prix du graffiti de la Fondation EDF en 2014, Jo enchaine depuis les expositions internationales, les performances et les fresques murales. On notera en particulier son œuvre immense présentée au Musée de l’immigration de Paris, ses grands murs réalisés dans Paris, au Loures Arte Publica de Lisbonne ou pour le Consulat de France au cœur d’Atlanta, sa présence aux côtés de ses galeristes Virginie Barrou Planquart et Joël Knafo sur des salons internationaux à NY, Miami, Londres, Hong-Kong, Lausanne,Madrid ou Munich…et ses oeuvres monumentales lors des expositions Street Art for…
JonOne
John Andrew Perello dit JonOne est artiste graffeur , né dans le ghetto new-yorkais d’Harlem, en 1963. Entre rupture scolaire et difficultés familiales, le jeune homme n’échappe pas au quotidien d’une jeunesse en danger et embrasse l’école de la rue. À l’âge de 17 ans, il débute le Graffiti. Writer embusqué sur la ligne A du métro de New York, John devenu Jonone fonde, épaulé d’une poignée d’activistes graffers, l’illustre collectif international 156 All Starz, en 1984. Ces early years voient la rencontre avec le français Bando, qui l’invite immédiatement à Paris. L’artiste arpente alors le macadam, en compagnie des pionniers du mouvement Hip-hop français, et entame une production de peintures au coeur d’un atelier campé à l’Hôpital Éphémère. Ses toiles connaissent également l’honneur d’expositions à Tokyo, Monaco, New York ou Hongkong. Dans les sous-sols du métro ou la lumière des galeries, Jonone consomme à pleines dents son mariage hexagonal, et ne quittera plus le territoire. Aujourd’hui, il vit toujours à Paris. Il est à ce jour le plus important expressionniste abstrait en activité, issu du monde du Graffiti.
L'Atlas
L’Atlas est né en France en 1978. Il commence le graffiti dans les années 1990. Fasciné par l’histoire de l’écriture, il étudie la calligraphie dans plusieurs pays et dessine sa propre typographie. Il intervient de plus en plus fréquemment dans l’espace public et devient une figure majeure du Street Art. Il développe parallèlement un univers pictural, conduisant méthodiquement l’écriture vers l’abstraction.
LADY K
Lady. K commence à peindre pendant son adolescence. Elle expérimente différents médiums et techniques allant du graff au surréalisme dès 1992. Elle se fait très vite remarquer par le petit cercle du graff féminin et est considérée comme une des meilleures graffeuses en France.
LAPORTE Georges
Georges Laporte est un peintre, lithographe et illustrateur français connu pour ses peintures à l’huile maritimes de paysages côtiers. Né le 17 décembre 1926 à Paris, fils d’un chauffeur de taxi, Laporte étudie les affaires internationales avant de travailler comme agent des douanes. Il commence à peindre au milieu des années 1940 et, en 1958, il remporte le prix Sebastien Lepage au Salon des artistes français. Il ouvre alors un studio à Quiberon en Bretagne dans les années 1960 et débute sérieusement sa carrière d’artiste paysagiste. Il meurt le 7 novembre 2000 à Paris.
MATHIEU Georges
Après des études de Lettres, de Droit et de Philosophie à l’Université de Lille, au terme desquelles il obtient une licence d’anglais en 1941, Georges Mathieu réalise ses premières peintures à l’huile en 1942. Il exerce pendant quelques années le métier de professeur avant de se lancer dans une carrière artistique. En 1946, il monte sa première exposition au « Salon des moins de trente ans » (Paris). Il est le premier en France à réagir violemment contre l’abstraction géométrique et organise dès 1947 une série de manifestations en faveur d’un art libéré de toutes les contraintes et habitudes classiques qu’il nomme « l’Abstraction Lyrique », dont il se fait le promoteur. La même année il est promu Directeur des relations publiques de la compagnie américaine United States Lines (Paris). En 1950, il réalise ses premières peintures tachistes. L’année suivante, il effectue un séjour d’étude à Positano (Italie) où il opère un rapprochement entre la Gestalt théorie et l’Abstraction Lyrique. De 1953 à 1963, il est Rédacteur en chef de l’United States Lines Paris Review. En 1954, il exécute ses premières grandes toiles, part pour le Japon, puis en 1957, rencontre un accueil triomphal. Il séjourne alors aux Etats-Unis. Dès 1959, des rétrospectives de ses…
MESNAGER Jérôme
En janvier 1983, Jérôme Mesnager invente l’Homme en blanc, « un symbole de lumière, de force et de paix ». Cette silhouette blanche appelée Corps blanc ou l’homme blanc, il l’a reproduite à travers le monde entier, des murs de Paris à la muraille de Chine. Un véritable tour du monde : des géants de Ménilmontant à la Place Rouge de Moscou, les personnages articulés sont partout ! Aujourd’hui, le Corps Blanc a plus de trente ans, et plusieurs ouvrages le célèbrent déjà.
Miss.Tic
Poète et plasticienne, née le 20 février 1956 à Montmartre, ses célèbres pochoirs ornent depuis quelques décennies les murs de la capitale. Son oeuvre, d’abord considéré comme un mode mineur et illégal, a depuis fait son entrée au sein des plus grandes institutions: la collection du Victoria and Albert Museum de Londres, lesFonds municipal d’art contemporain de Paris, rétrospective à Singapour avec le soutien de l’Ambassade française. La Miss se promène un peu partout, éternel féminin se jouant des regards et des pensées.
Mr Brainwash
Mr. Brainwash est un Street artiste et un vidéaste français dont les installations à grande échelle sont saluées au niveau international. Son utilisation subversive de l’iconographie culturelle et de l’appropriation emprunte aux Pop artistes Andy Warhol, Keith Haring et à des Street artistes contemporains comme Bansky. Alec Monopoly considère Mr. Brainwash comme son mentor. Né Thierry Guetta le 11 novembre 1966 à Garges-lès-Gonesse, il déménage à Los Angeles à l’âge de 15 ans, où il vit et travaille aujourd’hui. Il est peut-être plus connu pour son rôle dans le film Exit Through the Gift Shop (2010) qui montre, entre autres, son ascension vers le succès en 2008. « Banksy m’a montré alors que j’étais en train de devenir un artiste », a-t-il déclaré. « En fin de compte, je suis devenu sa plus grande œuvre d’art »
NGUYEN Hom
Hom Nguyen, né à Paris en 1972, est un artiste autodidacte au style instinctif. Travaillant au charbon de bois, au feutre de gouache, à l’huile ou même à la plume, chacune de ses peintures apparaît comme un combat, une confrontation de la main avec la matière qui naît d’une volonté : révéler la profondeur de l’être humain à travers les lignes et la couleur. La plupart du travail de Hom tourne autour de la création de portraits monumentaux. Le choix des couleurs, l’application de la matière ou la vivacité du geste sont toujours faits pour montrer au monde sa vision de l’être humain au-delà des apparences. Ses œuvres captent et transcendent la profondeur des sentiments et la complexité des émotions qui accablent l’âme humaine. Ses représentations subtiles traitent de la dualité du visible et de l’invisible, du matériel et de l’immatériel. Ainsi, Hom Nguyen pousse chacun de nous à une réflexion, une introspection, sur ce que nous montrons de nous-mêmes, ce que nous essayons de cacher et ce que nous sommes vraiment.
ORLINSKI Richard
Richard Orlinski est un artiste français né en 1966 à Paris. Sculpteur depuis 2004, il s’est entouré d’une équipe de techniciens hautement qualifiés. Ses œuvres d’art, conçues autour du concept « Born Wild », témoignent de valeurs essentielles dans un style résolument contemporain, qui ne cède jamais au trash, à l’extravagance ou à l’éphémère. Ses œuvres touchent un public large, y compris les enfants fascinés par ses créations iconiques. Invité d’honneur à Art Elysées, à Art Paris, à l’Artiferia de Bologne, aux festivals de Cannes, de Deauville, de Cabourg… En 2010, il est classé deuxième artiste français contemporain le plus vendu en France par Art Price et deux de ses oeuvres figurent parmi les 10 plus fortes enchères de 2011. Richard Orlinski sculpte pour sublimer la réalité et créer des œuvres d’art vivantes, belles et intemporelles, qui suscitent l’émotion dans le regard de l’autre. Profondément ancré dans son époque, Richard Orlinski utilise principalement des matériaux contemporains comme la résine et l’aluminium, mais également le marbre, la pierre et le bronze. Le concept Born Wild© L’enjeu de Richard Orlinski à travers le concept « Born Wild »© consiste à transformer les pulsions vitales négatives en émotions positives, à passer de l’instinct primordial à l’émotion civilisée.…
PASQUA Philippe
Né à Grasse en 1965, Philippe Pasqua est un artiste-peintre autodidacte qui échappe aux institutions et aux circuits classiques. Il s’est inspiré de Francis Bacon et Lucian Freud et s’est imposé progressivement comme l’un des artistes majeurs de sa génération. Son art impressionne, bouscule et fascine. Sa première exposition a eu lieu en 1990 à l’Espace Confluence à Paris. Il organise de nombreuses expositions personnelles, participe à différents évènements dans le monde entier (Singapour, Hong Kong, Moscou, Londres, Taiwan…) puis, à partir de 2010, expose de façon permanente ses œuvres dans la galerie The Storage: espace situé à Saint-Ouen l’Aumône, regroupant à la fois un lieu d’exposition, de stockage, un jardin de sculptures et un lieu permettant aux collectionneurs, aux amateurs d’art contemporain et aux professionnels de s’immerger dans l’univers de l’artiste. « C’est bien dans le corps, dans la chair, que finalement s’écrit l’histoire des hommes, et peut-être même l’histoire de l’art », explique Jean Rustin, à propos de sa peinture. Ainsi, il nous livre une piste peut être utile pour appréhender le travail de Philippe Pasqua.
REAULT Patrick
Patrick Reault est né en octobre 1955 à Bayonne. Avant d’être peintre, il a d’abord été acteur et musiciendans un groupe à Clermont-Ferrand. Autodidacte, il dessine jour et nuit dans une cave à la recherche de jeux de lumières inspirés par ses deux grands maîtres de référence, Nicolas de Staël et William Turner. Il vend ses premières aquarelles sur les quais du vieux port à Marseille avant de remonter à Paris. Sa technique évolue, passant de l’aquarelle à l’huile. Il choisit finalement l’acrylique qui lui permet davantage de liberté pour créer ses paysages colorés. Ses oeuvres ont été exposées en Asie, aux Etats-Unis et en France, et certaines font partie de collections privées du monde entier.
RUBINSTEIN Patrick
Patrick Rubinstein est un artiste qui aime diversifier les styles et les supports. Ses oeuvres sont modernes, éprises de l’actualité, de l’état actuel du monde et de notre société. L’ère du numérique l’incite à revisiter le travail de ses jeunes années, grâce aux nouvelles technologies, il redéfinit son oeuvre, donne libre cours à sa créativité. Ses idées n’ont pas de limites. Il propose des mélanges de portraits, de tableaux, de photos, d’images qu’il retravaille.Comme en 1978, l’année ou il développa cette technique, il mélange ses réalisations, pour créer des tableaux cinétiques, présentant 2 images à chaque fois. Epris de culture américaine et du pop Art, Patrick Rubinstein en travaille les emblèmes et les symboles.
SCHLITZ Franz
Peintre de nationalité française né le 13 janvier 1934 à Andenne, en Belgique. Il vit aujourd’hui à Paris. De nombreuses expositions en France et à l’étranger depuis 1964 lui ont été consacrées, période où il commence à travailler dans l’atelier du peintre SMET. Il participe alors à de grands événements tel que le Salon d’Automne ou le Salon des Indépendants. En 1969, la totalité de ses oeuvres est acquise par un collectionneur américain de Los Angeles. Depuis, il continue à travailler régulièrement en étroite collaborations avec des amateurs originaires des Etats-Unis (il expose en 1985 à Chicago puis en 1986 à New York). La peinture de Schlitz est également très appréciée en Alsace où il organise souvent des rendez-vous, notamment à Strasbourg et Mulhouse.
SEGUI Antonio
Antonio Ségui est un peintre né à Cordoba en Argentine, issu d’une famille de commerçants fortunés. Il arrive en France en 1951 pour étudier la peinture et la sculpture. En 1952 il part en Espagne faire ses études, et en 1957 il fait sa première exposition individuelle en Argentine. En 1958, il effectue un long voyage dans toute l’Amérique du Sud et l’Amérique centrale, avant de s’installer au Mexique, où il étudie les techniques de la gravure. En 1961, il retourne travailler en Argentine, avant de partir définitivement pour Paris en 1963 ; il vit aujourd’hui à Arcueil dans l’ancienne propriété d’Emile Raspail. Au début de sa carrière, il fut influencé par des artistes comme Georges Grosz ou Otto Dix. En ce sens, il pratiqua une figuration expressionniste d’où se dégageait de l’ironie. Peu à peu, sa figuration évolua vers l’absurde, construisant une sorte de théâtre sur la scène duquel s’ébat un homme en mouvement recherchant sa place dans le monde. La facétie et l’humour supplantant l’angoisse existentielle, il tente d’orchestrer à sa façon les espoirs et les folies d’une comédie humaine, ironique, faussement naïve et inquiétante. Les militaires de la dictature argentine finirent par l’interdire de séjour : « Je n’ai pas cherché…
STEVENS Antoine
Antoine Stevens, est un artiste français né en 1987. Depuis maintenant une dizaine d’années, il expose à travers la France, le Luxembourg, Londres ,Monaco, Singapour… L’artiste puise son inspiration dans l’art urbain mais aussi dans l’art « classique » : sa technique de peinture est celle des artistes urbains et les sujets représentés sont plus attachés à la peinture « classique » comme une ode à la femme. Antoine Stevens se place dans une tradition picturale de la représentation de la femme. Par son esthétisme contemporain, du dessin à la peinture acrylique en passant par le graffiti, l’artiste explore toutes les techniques pour faire jaillir la beauté du féminin, sa puissance et son désir d’avenir. Dans ses créations, Antoine Stevens utilise différentes techniques picturales pour appuyer son propos : les graffiti représentent la contemporanéité des femmes qu’il peint et les notes lumineuses sont le support de l’espoir qu’il choisit dans une palette de couleurs plus douces et sensibles. Une peinture entre art « classique » et art urbain mêlant la force de la rue à la délicatesse de la femme.
Sun7
Jonas Bournat, plus connu sous son pseudonyme Sun7, est un artiste urbain français né en 1977. Il découvre l’univers du graffiti new-yorkais au début des années 1990, et commence alors à tagger les murs de sa ville. Il partage aujourd’hui son temps entre Lyon et Paris.Sun7 s’inspire pour ses créations de l’action painting, de la calligraphie arabe et des tatouages latinos. Son travail est centré autour du mot, des lettres et de la calligraphie. L’image et le mot sont donc liés de manière subtile dans un florilège de couleur. La poésie s’immisce au cœur de l’art et des rues des grandes métropoles. Sun7 utilise différents supports tels que la toile, le métal ou des panneaux.
Tanc
Artiste plasticien, il est né à Paris en 1979. D’évidence marquée par les expressionnistes abstraits (lui-même citant volontiers Rothko, Pollock, Reinhardt, Hartung et surtout Franz Kline comme sources d’inspiration), l’œuvre de Tanc a depuis peu amorcé un tournant décisif. En effet, depuis son exposition new-yorkaise chez Catherine Ahnell, l’artiste délaisse quelque peu l’explosion colorée qui caractérisait ses toiles au profit de recherches où les fines nuances de noir, les variations linéaires et les écritures automatiques prennent une place centrale, non sans évoquer les travaux d’Henri Michaux. Compositeur en parallèle de son activité de plasticien, certaines notions propres aux musiques électroniques et expérimentales habitent son travail. En effet, l’obsession du rythme et de la pulsion tendent à rendre sa peinture fascinante par son intensité, sa musicalité et sa dimension vibratoire. Régulièrement visible en France, la peinture de Tanc a pris une dimension internationale avec des expositions en Allemagne, en Angleterre, au Maroc, à New York, l’élevant au rang des artistes les plus prometteurs de sa génération.
TOBIASSE Théo
Théo Tobiasse est né en Israël en 1927. Sa famille qui venait de Lituanie espérait y trouver la terre promise. L’œuvre de cet artiste est imprégnée de l’exil, de la femme mère-amante, et de réminiscences de l’enfance en Lituanie lorsque ses parents durent y retourner. La datcha dans la verdoyante campagne de Kaletova, les lumières des bateaux à roue pavoisés sur le Niémen, les traîneaux dans les rues enneigées de Kovno, mais aussi les théières rondes et les samovars ventrus, symboles de la chaleur familiale… Après avoir traversé l’Allemagne, Tobiasse arrive à Paris en 1931. S’ensuivent les années obscures de l’Occupation nazie où la famille restée cachée pendant deux ans, est malgré tout décimée. A la libération, Tobiasse ne rêve plus que de lumière, de soleil et de ciel immense. Il s’installe à Nice, puis à Saint Paul de Vence où il fait la découverte fascinante du paysage lunaire du plateau de Saint-Barnabé, au col de Vence. Ce sera sa première toile. Le Rijksmuseum d’Amsterdam lui procure une seconde révélation : la Fiancée Juive de Rembrandt lui fait découvrir le mystère de la matière et de la couleur. Les souvenirs remontent alors comme des lambeaux de mémoire et se déroulent au bout de…
TOFFOLI Louis
Louis Toffoli est un peintre français né à Trieste (Italie), le 16 octobre 1907, d’un père italien et d’une mère slovène, et mort le 18 février 1999 à Paris. Successivement austro-hongrois, puis italien puis français, donc européen avant la lettre, Toffoli se déclarait comme « de Trieste » et ne signait ses tableaux ni Luigi, ni Louis, mais seulement Toffoli. Les toiles de Toffoli s’imposent d’emblée au visiteur, la lumière est transparente traversant toutes les formes, elle semble sortir des peintures et l’impression de pureté qui s’en dégage crée une profonde intimité avec les personnages. Louis Toffoli serait à la recherche d’une vérité intérieure inhabituelle, les couleurs et les lumières vibrant dans ses peintures font chanter les motifs de la toile et ravissent les spectateurs. Louis Toffoli utilise différentes techniques pour ses œuvres : peinture à l’huile, lithographie, tapisseries. Les sujets se retrouvent ainsi sur différents supports, la lumière transparaissant de manière différente selon le support. Louis Toffoli consacre une période de son œuvre au travail sur la lumière à la lithographie. Il dédie aussi une œuvre au travail du lithographe avec La Presse à bras.
Traderz
Personnalité de l’art urbain, Traderz est un véritable phénomène. Depuis 1999, son oeuvre rayonne sur chaque mur de France et d’ailleurs.Pochoirs, peintures, sculptures, détournements d’objets urbains, Traderz est un artiste polyvalent. C’est un artiste mystérieux. Personne ne connait son visage, ni son âge exact, son lieu de résidence.A vous de le découvrir à travers ses oeuvres!
WEISBUCH Claude
Claude Weisbuch est un artiste pluridisciplinaire né en 1927 et mort en 2014 à Paris. Il fait ses études aux Beaux-arts de Nancy et se tourne plus tard vers l’enseignement de la gravure à Saint-Étienne. Peu reconnu à ses débuts, c’est en 1961 qu’il rencontre le succès en recevant le prix annuel de la critique. S’il s’illustre aussi dans le dessin et dans la peinture, Claude Weisbuch reste avant tout célèbre pour sa pratique de la gravure. L’artiste s’inspire de son environnement quotidien et portraiture des acteurs d’opéra et de théâtre. Il travaille à partir des contrastes et emploie généralement le brun et le blanc. Il donne à ses œuvres un aspect de « non fini », laissant souvent une grande partie de la surface vide.
Zenoy
Né en 1974, Zenoy est issu de la la banlieue ouest parisienne. Héritier de la technique du writing, Zenoy marque ses premiers murs en 1988.
ZIANI Hocine
Né en Algérie, il subtilisait des craies de couleurs à l’école du village pour pouvoir dessiner. Il s’intéressait à la nature, au village de son enfance, aux habitants et à sa propre famille. A l’écart de toutes les influences culturelles, Hocine Ziani s’est construit une personnalité et une manière de peindre bien à lui. Toute sa vie, il a travaillé pour perfectionner son art, affirmer son style, mêlant dans ses toiles le réalisme ou l’hyperréalisme des premiers plans à une semi abstraction qui occupe le fond de sa composition. Il est avant tout peintre de son Algérie natale, et de la lumière si particulière qui y règne. Il en a retracé tous les aspects, des grandes scènes de batailles qui lui ont été commandées par le gouvernement, et qui l’ont amené à recalculer perspectives, couleurs et compositions, afin d’éviter à tout prix les répétitions qu’il abomine, aux scènes les plus simples de la vie quotidienne. Il s’est essayé à tous les genres : portraits, natures mortes, paysages, peinture d’histoire, fantasias, scènes de la vie saharienne. Peu à peu, au fil des ans, Ziani est allé vers plus de dépouillement et d’épuration, il a alors cultivé le contraste entre premier plan…
Crash
ADAMI Valerio
Agathon
AÏZPIRI Paul
CLAVE Antoni
ARMAN
BAUDOUIN Arthur
CAVI
CHIR Sophie
COMBAS Robert
Erró
Esboner
FAIREY Shepard
Jo Di Bona
JonOne
L'Atlas
LADY K
LAPORTE Georges
MATHIEU Georges
MESNAGER Jérôme
Miss.Tic
Mr Brainwash
NGUYEN Hom
ORLINSKI Richard
PASQUA Philippe
POULET Raymond
REAULT Patrick
RUBINSTEIN Patrick
SCHLITZ Franz
SEGUI Antonio
STEVENS Antoine
Sun7
Tanc
TOBIASSE Théo
TOFFOLI Louis
Traderz
WEISBUCH Claude
Zenoy
ZIANI Hocine