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ADAMI Valerio
Né en 1935 à Bologne, Valerio Adami est un acteur incontournable de la Figuration Narrative. Sa peinture se caractérise par des aplats colorés cernés de noir et évoque les voyages, la musique, la littérature ou le théâtre. L’énigme, scandée de nombreuses références littéraires, occupe toujours une place centrale dans son travail qu’il définit comme une interrogation philosophique avec le verbe.
BERTHET ONE
Thoma Vuille est un peintre franco-suisse, né à Boudry dans le canton de Neuchâtel en 1977. Il est le créateur de la série graphique des M. Chat, personnage félin souriant créé dans les rues d’Orléans dans une démarche alliant optimisme et culture de proximité. Thoma Vuille commence la peinture de rue à l’acrylique à 15 ans, en mémoire de son grand-père, peintre de bâtiment. Il est élève à l’Institut d’arts visuels d’Orléans de 1995 à 2001. Le travail de Thoma Vuille consiste en une déclinaison constante de la figure de M. Chat, dont le trait s’est assuré au fil des ans. L’idée lui vient en 1997 au cours d’un atelier dans une école orléanaise durant lequel une petite fille réalise un dessin de chat qui inspire l’artiste. Celui-ci entreprend alors de peindre son chat sur les murs de la ville d’Orléans, de préférence au niveau des toits, avec pour seul objectif de « mettre de l’humain et de l’amour dans la ville ». Le dessin est simple, la ligne claire : le chat souriant fait au premier abord l’effet d’un logo. Toutefois, il ne saurait être ainsi réduit : « Le chat ne se décline pas en logotype, mais furtivement…
C215
Christian Guémy, alias C215 est l’un des street-artiste les plus doué de sa génération. Ses oeuvres sont visibles sur de nombreux murs parisiens, et dans d’autres villes du monde entie : portraits au pochoir ou lumineuses fresques sur de grandes façades d’immeuble. Ses couleurs font vivre sur les murs des images et y laissent une empreinte plus ou moins éphémère de lumière et de beauté. Ce qui marque dans ses portraits, c’est cette aura de vie et de dignité qui émane de leurs couleurs et de leurs regards.
CHIR Sophie
Inspirée par l‘univers des mangas et le street art, ainsi que par son expérience au sein de la Maison Lemarié – célèbre dans l’univers de la haute couture notamment pour la réalisation de l’iconique Camélia de Chanel, Sophie Chir réalise des toiles à la fois abstraites et florales, qui ne sont pas sans évoquer la calligraphie. Le geste pictural de l’artiste consiste à frapper, projeter au couteau la peinture, afin d’organiser des « Collisions » colorées. Telle une balle lancée, la peinture voltige, rebondit, se juxtapose, ou se superpose, créant une infinité de détails, mais aussi de reliefs et de contrastes aménageant plans et profondeurs qui explorent la 3ème dimension. L’expérimentation va plus loin, car les oeuvres de l’artiste nous font partager une expérience sensorielle autant rythmique que sensuelle, qui tient de la capacité de Sophie d’associer, de manière involontaire et automatique, un son à une couleur ; car l’artiste est synesthète, comme Wassily Kandinsky. Ce phénomène neurologique rare connecte en effet deux sens. Ici la musique – nécessaire au processus de création de l’artiste – est transformée en couleur. Grâce à cette particularité, Sophie Chir nous livre des chorégraphies visuelles riches en couleurs et en émotions.
COMBAS Robert
ROBERT COMBAS a apporté à l’aube des années 80 une nouvelle peinture figurative.Présent sur la scène artistique dès 1979 il est le créateur d’un mouvement que Ben appela « LA FIGURATION LIBRE », mouvement regroupant : Rémi Blanchard, François Boisrond, Robert Combas et Hervé Di Rosa. Peinture faite de libertés elle parle de la société, de la violence, de la sexualité, de la souffrance des gens, de leurs petits bonheurs, de leur petitesse, de leur grandeur … Elle s’inspire du rock dont l’artiste est un fin amateur, des images populaires, des livres d’enfance, des manuels scolaires de tout ce qui fait une culture populaire accessible à tous. » Moi, je travaille des fois abstrait par jets de peinture, une sorte d’expressionnisme abstrait. Le figuratif c’est le côté amusant, pied sur terre; au départ c’était une réaction dérisoire contre les peintures intellectuelles du milieu de l’art des années 70. Moi je viens du milieu populaire, je vivais dans deux mondes différents. Il y a quand même des messages dans ma peinture : au départ c’est une certaine énergie, j’ai voulu peindre ce que je voulais. Dans la B.D on est coincé par les personnages, tandis que, dans cette peinture, je suis libre complètement…
DUFILHO ANTOINE
Entre les noms Dufilho et Bugatti, il existe un lien presque palpable, qui s’est tissé par la passion de plusieurs hommes. C’est d’abord Jacques, le grand-oncle d’Antoine, qui eut la chance de collectionner des Bugatti. Cette passion immense fut transmise à son neveu et naturellement, comme on transmet un patrimoine génétique, le flambeau est passé à Antoine. Son travail consiste à exposer une alternance de plein et de vide, matérialisant un squelette, décomposant les formes en strates successives. Un mouvement est créé par cette représentation séquencée. C’est donc une vision cinétique d’un objet statique que nous offre l’artiste, notamment grâce à la déambulation de son observateur, qui permet une interprétation différente en fonction de son point d’observation. L’effet dynamique est accentué par une alternance de symétries et d’asymétries, provoquant un effet d’accélération ou de décélération. Diplômé de l’école d’Architecture et de Paysage de Lille, il a pu concevoir et réaliser lui-même dans la campagne lilloise, à partir de containers maritimes, l’atelier dans lequel toutes ses œuvres sont créées. C’est donc de façon logique qu’Antoine Dufilho se lança dans la conception et la réalisation de monuments comme le Chrysler Building et de symboles historiques comme la Tour Eiffel ou la Statue…
ERRO
Erró est un artiste peintre islandais né en 1932. Il étudie les arts plastiques et principalement la peinture aux Beaux-Arts de Reykjavík et d’Oslo de 1949 à 1952, puis la mosaïque aux Beaux-Arts de Florence en 1955. Dans ces différentes écoles, il se spécialise tout d’abord dans la technique du papier découpé avant de se consacrer à la mosaïque. Il s’installe à Paris en 1958 et rencontre les artistes du mouvement surréaliste. Dans un univers de bande-dessinée, Erró fait se rencontrer des figures de cartoons et despotes historiques. Il glane en permanence des visuels dans les journaux, la publicité, ou l’illustration pour réaliser ses collages, des échantillons culturels provenant de tous les pays qu’il parcourt. De cette manière, comics et propagande chinoise peuvent et vont se retrouver sur un même plan. Il crée des chocs visuels, mélangeant aussi bien la temporalité que les frontières. Ses dessins sont résolument engagés et abordent de plein pied des thèmes politiques et historiques. Il use d’humour et de dérision pour animer les sujets auxquels il s’attaque : régimes totalitaires, société de consommation et guerre en Irak vont être ses principaux fers de lance. Ayant l’habitude de travailler par cycles, ses collages vont passer d’un…
ESBONER
Ne en 1977 en Moselle, le messin dessine depuis l’enfance. C’est dans le milieu des années 90, qu’il découvre le milieu graffiti. Tout d’abord en vandal, sur autoroutes, voies ferrées, trains ou encore terrain abandonnés. Au fur et à mesure des années, il délaisse le writing (culture de la lettre) pour revenir à la base de son art qui est l’illustratif. Il délaisse également la rue, pour travailler personnellement sur ses dessins. Mais le street art va le rattraper assez rapidement. « Le street art le correspond parfaitement car on est dans l’idée de faire passer une émotion, un propos et ce peut importe les techniques utilisées » Il va alors commencer à faire des collages sauvages dans les rues de Metz, ses illustrations parlent des sentiments humains, de nos contradictions parfois, de façon non violente ou agressive. De façon poétique le but étant d’interpeller et de laisser aux passants la liberté d’interpréter Ce qu’ils voient. La rue et le street art sont des composantes indispensables a son art. Le messin expose aujourd’hui en galerie, participe à divers projets culturels, réalise des commandes pour particuliers ou des collectivités. Esboner essaie de faire ressortir ses influences japonaises et américaines dans le…
GHILINI JORIS
Artiste contemporain français né le 6 avril 1978 à Marseille, Joris Ghilini est autodidacte. Il peint, sculpte et dessine. Depuis sa plus tendre enfance, il a été baigné dans le monde artistique, son père étant directeur de théâtre et organisateur de concerts. L’artiste a trouvé sa voix et son identité dans les grands courants de l’histoire de l’art tels que les nouveaux réalistes ainsi que dans les sous-cultures du graffiti, du heavy metal et du skateboard. Les thèmes qu’il aborde reflètent une grande variété de questionnement contemporains qui l’ont amené à exposer dans le monde entier.
GULLY
Gully, né en 1977 est un graffeur et artiste français de la région parisienne. Il a décidé de changer de pseudonyme pour passer de sa vie de graffeur à celle d’artiste d’atelier et ainsi garder l’anonymat. Ses premières œuvres sous son nouveau pseudonyme voient le jour en 2008. Il a pratiqué le graffiti intensivement de 1992 au milieu des années 2000. Il a changé de nom d’artiste, ne ressentant pas le besoin que son travail sur toile soit associé à son passé dans le mouvement graffiti. Il se consacre aujourd’hui au travail en atelier, même s’il reconnait souvent remettre son masque d’antan, l’adrénaline étant un moteur pour toute cette génération. Son inspiration première vient de sa découverte, il y a quelques années du courant de l’Appropriation, à la suite de quoi, il s’est attaqué à tous ceux qu’il considère comme les monstres sacrés du milieu de l’art. Aujourd’hui, Gully raconte dans des décors à l’architecture somptueuse, des histoires d’enfants émerveillés par l’art et plus particulièrement par les tableaux de ses maîtres, dans des petites histoires que l’on pourrait voir comme des cases de BD’s, sans dialogue, permettant ainsi au spectateur de pouvoir se raconter le tableau.
JO DI BONA
Nouvelle figure emblématique de la scène Street Art parisienne, Jo Di Bona doit son succès fulgurant à sa technique unique qu’il a lui-même inventée: le Pop Graffiti, où il associe collages, diverses influences du graffiti et la culture pop dont il s’est profondément imprégné. Fauviste des temps modernes, Jo mélange couleurs et mouvements pour créer des visages empreints de poésie, d’émotions et de joie de vivre. Dans ses oeuvres, Jo rend hommage avec la même tendresse aux icônes et grands personnages de l’histoire qu’aux inconnus de passage, nourri par le regard généreux qu’il porte sur l’humain car “le plus important à ses yeux, c’est le partage” (Artist’up) Couronné du prestigieux 1er Prix du graffiti de la Fondation EDF en 2014, Jo enchaine depuis les expositions internationales, les performances et les fresques murales. On notera en particulier son œuvre immense présentée au Musée de l’immigration de Paris, ses grands murs réalisés dans Paris, au Loures Arte Publica de Lisbonne ou pour le Consulat de France au cœur d’Atlanta, sa présence aux côtés de ses galeristes Virginie Barrou Planquart et Joël Knafo sur des salons internationaux à NY, Miami, Londres, Hong-Kong, Lausanne,Madrid ou Munich…et ses oeuvres monumentales lors des expositions Street Art for…
JONONE
John Andrew Perello dit JonOne est artiste graffeur , né dans le ghetto new-yorkais d’Harlem, en 1963. Entre rupture scolaire et difficultés familiales, le jeune homme n’échappe pas au quotidien d’une jeunesse en danger et embrasse l’école de la rue. À l’âge de 17 ans, il débute le Graffiti. Writer embusqué sur la ligne A du métro de New York, John devenu Jonone fonde, épaulé d’une poignée d’activistes graffers, l’illustre collectif international 156 All Starz, en 1984. Ces early years voient la rencontre avec le français Bando, qui l’invite immédiatement à Paris. L’artiste arpente alors le macadam, en compagnie des pionniers du mouvement Hip-hop français, et entame une production de peintures au coeur d’un atelier campé à l’Hôpital Éphémère. Ses toiles connaissent également l’honneur d’expositions à Tokyo, Monaco, New York ou Hongkong. Dans les sous-sols du métro ou la lumière des galeries, Jonone consomme à pleines dents son mariage hexagonal, et ne quittera plus le territoire. Aujourd’hui, il vit toujours à Paris. Il est à ce jour le plus important expressionniste abstrait en activité, issu du monde du Graffiti.
KURAR
Kurar est né en 1983. Il vit et travaille à Clermont-Ferrand, France. Au début de sa carrière, Kurar utilise les bombes de peinture et travaille le volume et la couleur. Son œuvre et sa technique évoluent grâce à ses voyages et expériences. Il se familiarise avec les techniques du graff vandale et du collage avant de se consacrer exclusivement au pochoir et plus recemment à la peinture dite de « chevalet ». A travers son oeuvre, il partage sans filtre mais avec toujours beaucoup d’humour, ses incertitudes et ses interrogations. L’image de l’enfance, symbole de l’innocence, lui permet d’aborder avec légèreté les sujets de la guerre, de la religion et de la société de consommation. Il apprécie aborder des thématiques contemporaines et incite le spectateur à prendre du recul quant à sa perception de la société, ainsi que sur les abus d’un système qui néglige les émotions et encourage l’individualisme.
L'ATLAS
L’Atlas est né en France en 1978. Il commence le graffiti dans les années 1990. Fasciné par l’histoire de l’écriture, il étudie la calligraphie dans plusieurs pays et dessine sa propre typographie. Il intervient de plus en plus fréquemment dans l’espace public et devient une figure majeure du Street Art. Il développe parallèlement un univers pictural, conduisant méthodiquement l’écriture vers l’abstraction.
LUMBROSO Alain
Poète et plasticienne, née le 20 février 1956 à Montmartre, ses célèbres pochoirs ornent depuis quelques décennies les murs de la capitale. Son oeuvre, d’abord considéré comme un mode mineur et illégal, a depuis fait son entrée au sein des plus grandes institutions: la collection du Victoria and Albert Museum de Londres, lesFonds municipal d’art contemporain de Paris, rétrospective à Singapour avec le soutien de l’Ambassade française. La Miss se promène un peu partout, éternel féminin se jouant des regards et des pensées.
MATHIEU Georges
Après des études de Lettres, de Droit et de Philosophie à l’Université de Lille, au terme desquelles il obtient une licence d’anglais en 1941, Georges Mathieu réalise ses premières peintures à l’huile en 1942. Il exerce pendant quelques années le métier de professeur avant de se lancer dans une carrière artistique. En 1946, il monte sa première exposition au « Salon des moins de trente ans » (Paris). Il est le premier en France à réagir violemment contre l’abstraction géométrique et organise dès 1947 une série de manifestations en faveur d’un art libéré de toutes les contraintes et habitudes classiques qu’il nomme « l’Abstraction Lyrique », dont il se fait le promoteur. La même année il est promu Directeur des relations publiques de la compagnie américaine United States Lines (Paris). En 1950, il réalise ses premières peintures tachistes. L’année suivante, il effectue un séjour d’étude à Positano (Italie) où il opère un rapprochement entre la Gestalt théorie et l’Abstraction Lyrique. De 1953 à 1963, il est Rédacteur en chef de l’United States Lines Paris Review. En 1954, il exécute ses premières grandes toiles, part pour le Japon, puis en 1957, rencontre un accueil triomphal. Il séjourne alors aux Etats-Unis. Dès 1959, des rétrospectives de ses…
MESNAGER Jérôme
En janvier 1983, Jérôme Mesnager invente l’Homme en blanc, « un symbole de lumière, de force et de paix ». Cette silhouette blanche appelée Corps blanc ou l’homme blanc, il l’a reproduite à travers le monde entier, des murs de Paris à la muraille de Chine. Un véritable tour du monde : des géants de Ménilmontant à la Place Rouge de Moscou, les personnages articulés sont partout ! Aujourd’hui, le Corps Blanc a plus de trente ans, et plusieurs ouvrages le célèbrent déjà.
MIOTTE Jean
JEAN MIOTTE (1926-2016) Jean Miotte est un peintre français. Son abstraction personnelle le place à la frontière entre l’Art informel, le tachisme et l’Abstraction lyrique. Le peintre Jean Miotte est particulièrement attaché à la représentation du mouvement dans son œuvre picturale.
Mr BRAINWASH
Mr. Brainwash est un Street artiste et un vidéaste français dont les installations à grande échelle sont saluées au niveau international. Son utilisation subversive de l’iconographie culturelle et de l’appropriation emprunte aux Pop artistes Andy Warhol, Keith Haring et à des Street artistes contemporains comme Bansky. Alec Monopoly considère Mr. Brainwash comme son mentor. Né Thierry Guetta le 11 novembre 1966 à Garges-lès-Gonesse, il déménage à Los Angeles à l’âge de 15 ans, où il vit et travaille aujourd’hui. Il est peut-être plus connu pour son rôle dans le film Exit Through the Gift Shop (2010) qui montre, entre autres, son ascension vers le succès en 2008. « Banksy m’a montré alors que j’étais en train de devenir un artiste », a-t-il déclaré. « En fin de compte, je suis devenu sa plus grande œuvre d’art »
NGUYEN Hom
Hom Nguyen, né à Paris en 1972, est un artiste autodidacte au style instinctif. Travaillant au charbon de bois, au feutre de gouache, à l’huile ou même à la plume, chacune de ses peintures apparaît comme un combat, une confrontation de la main avec la matière qui naît d’une volonté : révéler la profondeur de l’être humain à travers les lignes et la couleur. La plupart du travail de Hom tourne autour de la création de portraits monumentaux. Le choix des couleurs, l’application de la matière ou la vivacité du geste sont toujours faits pour montrer au monde sa vision de l’être humain au-delà des apparences. Ses œuvres captent et transcendent la profondeur des sentiments et la complexité des émotions qui accablent l’âme humaine. Ses représentations subtiles traitent de la dualité du visible et de l’invisible, du matériel et de l’immatériel. Ainsi, Hom Nguyen pousse chacun de nous à une réflexion, une introspection, sur ce que nous montrons de nous-mêmes, ce que nous essayons de cacher et ce que nous sommes vraiment.
ORLINSKI Richard
Richard Orlinski est un artiste français né en 1966 à Paris. Sculpteur depuis 2004, il s’est entouré d’une équipe de techniciens hautement qualifiés. Ses œuvres d’art, conçues autour du concept « Born Wild », témoignent de valeurs essentielles dans un style résolument contemporain, qui ne cède jamais au trash, à l’extravagance ou à l’éphémère. Ses œuvres touchent un public large, y compris les enfants fascinés par ses créations iconiques. Invité d’honneur à Art Elysées, à Art Paris, à l’Artiferia de Bologne, aux festivals de Cannes, de Deauville, de Cabourg… En 2010, il est classé deuxième artiste français contemporain le plus vendu en France par Art Price et deux de ses oeuvres figurent parmi les 10 plus fortes enchères de 2011. Richard Orlinski sculpte pour sublimer la réalité et créer des œuvres d’art vivantes, belles et intemporelles, qui suscitent l’émotion dans le regard de l’autre. Profondément ancré dans son époque, Richard Orlinski utilise principalement des matériaux contemporains comme la résine et l’aluminium, mais également le marbre, la pierre et le bronze. Le concept Born Wild© L’enjeu de Richard Orlinski à travers le concept « Born Wild »© consiste à transformer les pulsions vitales négatives en émotions positives, à passer de l’instinct primordial à l’émotion civilisée.…
PASQUA Philippe
Artiste majeur de sa génération, Philippe Pasqua s’impose par un itinéraire hors-norme. Dans sa démarche artistique, Philippe Pasqua (né en 1965, à Grasse) explore le champ de ses émotions et leur donne une dimension collective. Il transperce de son regard aigu le tumulte de l’histoire, passant des temps anciens à une actualité brûlante. Il parle de l’épuisement de la terre, de la disparition des espèces, comme de la grandeur de l’univers. Sa peinture raconte l’homme. Laideur et beauté se croisent et ses modèles deviennent iconiques. Tous reflètent l’universel. L’intensité des regards, la force des expressions imprègnent ses toiles. Techniquement Philippe Pasqua passe du dessin à la peinture, du collage à la sculpture, dans une même maîtrise d’un style affirmé. En 1999, Philippe Pasqua aborde en sculpture le concept des vanités : il interprète le sujet du crâne humain qu’il orne de matières précieuses et de papillons fragiles. L’éphémère et l’inconstance de l’existence se confrontent à l’éternel. Depuis quelques années, l’évolution du monde et des espèces devient le sujet de ses préoccupations. La pensée de Darwin et celle des scientifiques contemporains, associée à la notion d’un sacré proche du religieux, l’inspirent dans ses réalisations.
RUBINSTEIN Patrick
Patrick Rubinstein est un artiste qui aime diversifier les styles et les supports. Ses oeuvres sont modernes, éprises de l’actualité, de l’état actuel du monde et de notre société. L’ère du numérique l’incite à revisiter le travail de ses jeunes années, grâce aux nouvelles technologies, il redéfinit son oeuvre, donne libre cours à sa créativité. Ses idées n’ont pas de limites. Il propose des mélanges de portraits, de tableaux, de photos, d’images qu’il retravaille.Comme en 1978, l’année ou il développa cette technique, il mélange ses réalisations, pour créer des tableaux cinétiques, présentant 2 images à chaque fois. Epris de culture américaine et du pop Art, Patrick Rubinstein en travaille les emblèmes et les symboles.
SCHLOSSER GERARD
Gerard Shlosser est un peintre français né en 1931 à Lille. C’est à l’âge de 17 ans qu’il quitte le nord de la France et s’installe à Paris où il vivra toute sa vie. Il étudie l’orfèvrerie à l’école des arts appliqués, ainsi que la sculpture de façon autonome. Après avoir été de passage à l’école des beaux-arts, il décide de consacrer entièrement son art à la peinture dès 1953. Ses œuvres, peuplées de personnes cintrées de noir ne sont pas sans rappeler celles du pop art. De la pratique de la peinture est né un intérêt pour l’art de la photographie. Ce n’est qu’au tout début des années 1970 qu’il utilise la photographie pour l’aider à générer ses œuvres peintes. Le besoin de percevoir et de retranscrire le réel tel qu’il est à travers des éléments corporels : jambe épaule nuque poitrine main.… Les thèmes sont choisis d’après des photos qu’il prend personnellement. Il procède ensuite à un photomontage associant par le découpage deux ou trois éléments issus de documents différents pour recréer une scène de vie. Il peut alors peindre sa composition sur une toile sablée.
SEGUI Antonio
Antonio Ségui est un peintre né à Cordoba en Argentine, issu d’une famille de commerçants fortunés. Il arrive en France en 1951 pour étudier la peinture et la sculpture. En 1952 il part en Espagne faire ses études, et en 1957 il fait sa première exposition individuelle en Argentine. En 1958, il effectue un long voyage dans toute l’Amérique du Sud et l’Amérique centrale, avant de s’installer au Mexique, où il étudie les techniques de la gravure. En 1961, il retourne travailler en Argentine, avant de partir définitivement pour Paris en 1963 ; il vit aujourd’hui à Arcueil dans l’ancienne propriété d’Emile Raspail. Au début de sa carrière, il fut influencé par des artistes comme Georges Grosz ou Otto Dix. En ce sens, il pratiqua une figuration expressionniste d’où se dégageait de l’ironie. Peu à peu, sa figuration évolua vers l’absurde, construisant une sorte de théâtre sur la scène duquel s’ébat un homme en mouvement recherchant sa place dans le monde. La facétie et l’humour supplantant l’angoisse existentielle, il tente d’orchestrer à sa façon les espoirs et les folies d’une comédie humaine, ironique, faussement naïve et inquiétante. Les militaires de la dictature argentine finirent par l’interdire de séjour : « Je n’ai pas cherché…
SUN7
Né en 1977 à Paris, Jonas dit « SUN 7 » vit et travaille à Paris. Il est, à l’évidence, enfant de croisements et chevauchements entre le mot et l’image, la poésie et la couleur, l’art et la rue. A l’aube des années 1990, il découvre l’univers des tags new–yorkais. Bombe aérosol en main, il s’attaque à la peau des murs, de Paris à New York. Il multiplie performances et interventions à Paris, Lyon et Marseille, puis à Shanghai, Hong-Kong et Djakarta…. Il utilise ensuite la toile, le panneau, les plaques de métal… Son registre se métisse sous des influences multiples : l’action painting, l’art nègre, les tatouages maoris. Mais c’est le mot qui domine. Un maillage de mots, le plus souvent indéchiffrables et qui, assemblés, composent des portraits et des autoportraits. Portraits évidents et textes codés, soit un jeu subtil d’apparition/disparition, où ce qui relève de la calligraphie, des glyphes, des idéogrammes, se déréalise, laissant planer le mystère.
TANC
Artiste plasticien, il est né à Paris en 1979. D’évidence marquée par les expressionnistes abstraits (lui-même citant volontiers Rothko, Pollock, Reinhardt, Hartung et surtout Franz Kline comme sources d’inspiration), l’œuvre de Tanc a depuis peu amorcé un tournant décisif. En effet, depuis son exposition new-yorkaise chez Catherine Ahnell, l’artiste délaisse quelque peu l’explosion colorée qui caractérisait ses toiles au profit de recherches où les fines nuances de noir, les variations linéaires et les écritures automatiques prennent une place centrale, non sans évoquer les travaux d’Henri Michaux. Compositeur en parallèle de son activité de plasticien, certaines notions propres aux musiques électroniques et expérimentales habitent son travail. En effet, l’obsession du rythme et de la pulsion tendent à rendre sa peinture fascinante par son intensité, sa musicalité et sa dimension vibratoire. Régulièrement visible en France, la peinture de Tanc a pris une dimension internationale avec des expositions en Allemagne, en Angleterre, au Maroc, à New York, l’élevant au rang des artistes les plus prometteurs de sa génération.
TOBIASSE Théo
Théo Tobiasse est né en Israël en 1927. Sa famille qui venait de Lituanie espérait y trouver la terre promise. L’œuvre de cet artiste est imprégnée de l’exil, de la femme mère-amante, et de réminiscences de l’enfance en Lituanie lorsque ses parents durent y retourner. La datcha dans la verdoyante campagne de Kaletova, les lumières des bateaux à roue pavoisés sur le Niémen, les traîneaux dans les rues enneigées de Kovno, mais aussi les théières rondes et les samovars ventrus, symboles de la chaleur familiale… Après avoir traversé l’Allemagne, Tobiasse arrive à Paris en 1931. S’ensuivent les années obscures de l’Occupation nazie où la famille restée cachée pendant deux ans, est malgré tout décimée. A la libération, Tobiasse ne rêve plus que de lumière, de soleil et de ciel immense. Il s’installe à Nice, puis à Saint Paul de Vence où il fait la découverte fascinante du paysage lunaire du plateau de Saint-Barnabé, au col de Vence. Ce sera sa première toile. Le Rijksmuseum d’Amsterdam lui procure une seconde révélation : la Fiancée Juive de Rembrandt lui fait découvrir le mystère de la matière et de la couleur. Les souvenirs remontent alors comme des lambeaux de mémoire et se déroulent au bout de…
TOFFOLI Louis
Louis Toffoli est un peintre français né à Trieste (Italie), le 16 octobre 1907, d’un père italien et d’une mère slovène, et mort le 18 février 1999 à Paris. Successivement austro-hongrois, puis italien puis français, donc européen avant la lettre, Toffoli se déclarait comme « de Trieste » et ne signait ses tableaux ni Luigi, ni Louis, mais seulement Toffoli. Les toiles de Toffoli s’imposent d’emblée au visiteur, la lumière est transparente traversant toutes les formes, elle semble sortir des peintures et l’impression de pureté qui s’en dégage crée une profonde intimité avec les personnages. Louis Toffoli serait à la recherche d’une vérité intérieure inhabituelle, les couleurs et les lumières vibrant dans ses peintures font chanter les motifs de la toile et ravissent les spectateurs. Louis Toffoli utilise différentes techniques pour ses œuvres : peinture à l’huile, lithographie, tapisseries. Les sujets se retrouvent ainsi sur différents supports, la lumière transparaissant de manière différente selon le support. Louis Toffoli consacre une période de son œuvre au travail sur la lumière à la lithographie. Il dédie aussi une œuvre au travail du lithographe avec La Presse à bras.
VASARELY
Győző Vásárhelyi , dit Victor Vasarely, né le 9 avril 1906 à Pécs, en Autriche-Hongrie, et mort le 15 mars 1997 à Paris, en France, est un plasticien hongrois, né austro-hongrois et naturalisé français en 1961N 2, reconnu comme étant le père de l’art optique.
WILLEM Albert
Albert Willem est un artiste figuratif contemporain qui vit et travaille à Bruxelles. Il est surtout connu pour ses peintures de style naïf, riches d’esprit et d’humour, avec un élément folklorique et infantile dans leur composition. Ses sujets sont généralement légers, évitant délibérément les thèmes profonds, avec des touches d’humour qui font partie intégrante de la pratique de Willem. Ses œuvres, généralement peintes à l’acrylique sur toile, montrent souvent des moments ironiques ou plus grands que nature de la vie quotidienne : des gens se battant lors d’un mariage, dansant lors d’un enterrement, une ligne de conga infinie. Il fait également appel à l’humour pour surcompenser ses peurs physiologiques et émotionnelles, passées et présentes, y compris ses bizarreries très personnelles comme la panique qu’il ressent lorsqu’il est confronté à une piste de danse. Les peintures de Willem reflètent une partie de sa lignée artistique qui remonte aux œuvres de LS Lowry, James Ensor et Breugel l’Ancien, tous des artistes qu’il admire beaucoup. S’appuyant sur le sens artistique de la normalité et du primitivisme de Lowry, Willem apporte une touche contemporaine à ce style en décrivant la vie quotidienne, sans jugement du bien ou du mal, dans la société du 21e…
YOUNS
YouNs est un artiste digital qui s’inspire de différents mondes pour ses créations. En effet, le Street Art, le Pop Art et la Photographie font partie intégrante de son univers artistique. Il est inspiré par sa génération, les voyages et aussi par les messages qui parcourent les murs des villes du monde entier. YouNs lance une nouvelle collection en 2022 appelée “QontRast”. » Dans ce nouveau monde 3.0, dans notre génération matrixée, dans cette “Métaverse” géante où tout est codifié, où tout est scanné, où tout porte un QR code, j’ai été inspiré et j’ai voulu rendre réel le virtuel. J’ai cherché à en faire quelque chose qui aurait un sens plus noble, quelque chose de palpable, d’authentique, de vrai. Dans cette nouvelle société où l’on a besoin d’avoir un QR code pour tout, j’ai eu urgemment besoin de prendre le contre-pied de cette nouvelle réalité et de la rendre plus jolie.
ZENOY
Né en 1974, Zenoy est issu de la la banlieue ouest parisienne. Héritier de la technique du writing, Zenoy marque ses premiers murs en 1988.
WILLEM Albert
KURAR
GHILINI JORIS
SUN7
GULLY
MIOTTE Jean
YOUNS
PASQUA Philippe
DUFILHO ANTOINE
SCHLOSSER GERARD
VASARELY
C215
ADAMI Valerio
CLAVE Antoni
CHIR Sophie
COMBAS Robert
ERRO
ESBONER
JO DI BONA
JONONE
L'ATLAS
LAPORTE Georges
LUMBROSO Alain
BERTHET ONE
MATHIEU Georges
MESNAGER Jérôme
Mr BRAINWASH
NGUYEN Hom
ORLINSKI Richard
POULET Raymond
RUBINSTEIN Patrick
SEGUI Antonio
TANC
TOBIASSE Théo
TOFFOLI Louis
ZENOY